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La qualité de l’air dans les logements

Aujourd’hui l’air intérieur, souvent reconnue de moins bonne qualité que l’air extérieur, est en train de devenir un enjeu de santé publique. Des pathologies y sont associées. Une bonne ventilation des logements, en remplaçant l’air vicié, permet d’y faire face mais aussi de contribuer à la préservation du bâti.

Concevoir les travaux globalement
Trop de travaux d’isolation ont été faits ponctuellement sans vue d’ensemble entraînant des dommages sur le bâti (phénomènes de condensation et de moisissures) et des conséquences néfastes sur la qualité de l’air intérieur.

Si, dorénavant aucune rénovation importante d’immeuble ne se fait sans en optimiser la performance énergétique, sa ventilation doit aussi être conçue et réalisée en même temps.

Prévoir l’intervention de professionnels
Réussir la ventilation d’une copropriété est complexe. Les orientations à prendre dépendent en général de la période de construction de l’immeuble. Il faut souvent partir de l’existant et rénover en conséquence. Dans ce contexte, l’expertise du professionnel est précieuse.

Les premières réglementations de 1937 prévoyaient une ventilation naturelle et des conditions minimales pièce par pièce puis en 1969, la Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) est apparue.
Un arrêté du 28 octobre 1983 a fixé le principe de l’aération générale. L’air frais est le plus souvent introduit en façade dans les pièces « sèches » (séjour et chambres) et circule dans le logement avant d’être évacué des pièces « humides » (cuisine, salle de bains et WC) par un groupe d’extraction motorisé, comme les VMC installées dans les combles ou en toiture.

Prévoir l’intervention de professionnels
Réussir la ventilation d’une copropriété est complexe. Les orientations à prendre dépendent en général de la période de construction de l’immeuble. Il faut souvent partir de l’existant et rénover en conséquence. Dans ce contexte, l’expertise du professionnel est précieuse.

Les premières réglementations de 1937 prévoyaient une ventilation naturelle et des conditions minimales pièce par pièce puis en 1969, la Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) est apparue.
Un arrêté du 28 octobre 1983 a fixé le principe de l’aération générale. L’air frais est le plus souvent introduit en façade dans les pièces « sèches » (séjour et chambres) et circule dans le logement avant d’être évacué des pièces « humides » (cuisine, salle de bains et WC) par un groupe d’extraction motorisé, comme les VMC installées dans les combles ou en toiture.

Respecter des règles de bonnes pratiques
Une bonne qualité d’air intérieure dépend aussi de l’entretien régulier des dispositifs de ventilation et du comportement de chacun.
Les bouches d’aération doivent être entretenues et non obstruées. Le fonctionnement des VMC doit être régulièrement vérifié. Les bouches d’extraction doivent être démontées et nettoyées.
Ouvrir les fenêtres des parties communes comme des parties privatives au moins 15 minutes par jour est recommandé pour évacuer l’humidité et renouveler l’air intérieur.

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